Alliance Centriste

ALLIANCE CENTRISTE: Discours de Jean Arthuis à la convention nationale du 2 juillet à Angers

L’Alliance centriste, présidée par Jean ARTHUIS, réunie en convention nationale ce le 2 juillet à Angers, s’est prononcée pour le report de son adhésion à la Confédération des Centres lancée par J. L. Borloo. Pour Jean Arthuis, l’adhésion à la confédération est liée à trois conditions, l’indépendance, le positionnement au centre et l’ouverture à tous les centristes, qui ne sont pas réunies pour le moment. Le président de l’alliance a par ailleurs mis en exergue, lors de ce rassemblement, les différentes grandes idées de l’Alliance Centriste. ANGERS – 2 juillet 2011 CONVENTION DE L’ALLIANCE CENTRISTE “La Ve République fait dePlus…

Communiqué de presse à la sortie du comité exécutif de l’Alliance Centriste du samedi 2 avril

L’Alliance Centriste veut prendre part à la refondation de la famille centriste. L’Alliance Centriste, présidée par le sénateur Jean Arthuis, a réaffirmé samedi sa volonté “de prendre part à la refondation de la famille centriste au sein de la Confédération en cours de constitution” à l’issue d’un comité exécutif. Le comité a chargé Jean Arthuis de rencontrer François Bayrou (MoDem), Jean-Marie Bockel (Gauche Moderne), Jean-Louis Borloo (Parti Radical) et Hervé Morin (Nouveau Centre), avec comme conditions préalables : “indépendance”, “ouverture à toutes les composantes, sans exclusive” et “identification du projet que portera devant les Français son candidat lors de l’électionPlus…

Interview de Philippe Folliot dans Nord Eclair: l’Alliance Centriste pour une refondation du centre

De passage à Lille, Philippe Folliot, porte-parole de l’Alliance Centriste, a précisé les enjeux de la refondation du centre. Le parti de Jean Arthuis veut être le pivot d’un rassemblement allant du Modem au parti radical en vue de la présidentielle. Les élections cantonales semblent avoir donné des ailes aux centristes, qui ambitionnent de nouveau de représenter la seule alternative crédible en vue de 2012. Détonateur de ce mouvement, la « droitisation » de l’UMP et le « ni-ni » brandi par Nicolas Sarkozy pour refuser un front républicain contre le Front national. « En 2012, nous aurons besoin d’un président qui rassemble et quiPlus…