A Saint-Sulpice-La-Pointe : le 4e constructeur auto de France, des vêtements qui viennent des océans, et une championne du monde

Fin novembre, Philippe Folliot se rendait à Saint-Sulpice-La-Pointe pour rencontrer le conseil municipal de la ville. En amont de cette réunion, le sénateur a souhaité aller à la rencontre d’entreprises atypiques basées sur la commune.

Le sénateur découvre ainsi De Vinci Car, le quatrième constructeur auto de France (après Renault, Peugeot, et Citroën) qui possède ses locaux à Saint Sulpice. Le fondateur et directeur de la marque, M. Jean-Philippe Dayraut, est un ancien champion de course automobile. Après avoir couru à de multiples reprises le Paris-Dakkar, les 24h du Mans et de bien nombreuses courses emblématiques, il cumule 13 titre de champions de France, d’Europe et du Monde. Après une vie compétitive rondement menée, le champion créé sa marque et son produit : une voiture électrique unique, au look rétro et vintage ayant pour structure de base un quadricycle. Les stars en raffolent : Léonardo Di Caprio, Brigitte Bardot, le Prince Albert II, rien que ça…  

Dans les locaux de De Vinci Car, devant l’une des créations de son fondateur.

 

Le sénateur s’est ensuite rendu à Wastendsea, une start-up qui fabrique des vêtements à la mode et respectueux de l’environnement, à partir de plastiques récupérés dans les océans. Reçu par Céline, il échange alors longuement avec l’une des gérantes de l’entreprise qui lui raconte l’histoire de Wastendsea et développe notamment la qualité de ses produits. Le fabricant utilise un minimum de 50% de matière Seaqual dans ses t-shirts et 25% dans les sweats auxquels il associe du coton bio. Le Seaqual est une matière réalisée à partir de bouteilles repêchées dans les océans. 

Céline explique au sénateur le fonctionnement de l’entreprise.

 

Enfin, le sénateur a eu l’immense privilège de rencontrer Séréna Giraud, une jeune licenciée d’un club de patinage artistique de Saint-Sulpice qui vient d’être sacrée championne du monde. Agé de 23 ans, Séréna rentre fièrement du Paraguay, une médaille de championne du monde autour du cou. Après des années de travail et d’entrainements, dès l’âge de 5 ans, et en parallèle d’une école d’ingénieur, la patineuse gravit les échelons pour atteindre le sommet et remporte le Graal : un titre mondial. Sur invitation du Maire de Saint-Sulpice et en présence du club et d’élus de la mairie, le sénateur transmets donc toutes ses félicitations  à la jeune championne. Elle recevra d’ailleurs le trophée d’honneur de la ville des mains de Rapahaël Bernardin, maire de Saint-Sulpice. 

 

Séréna, championne du monde, entourée des élus et de son club.
A Saint-Sulpice-La-Pointe : le 4e constructeur auto de France, des vêtements qui viennent des océans, et une championne du monde