Editos

Jean-Louis Debré ou l’esprit républicain

Édito de la lettre d’information n°107 du 27 janvier 2012 Sur mon invitation, la venue dans le Tarn de Jean-Louis Debré, Président du Conseil constitutionnel mais avant tout ami et écrivain, fut importante et symbolique à mes yeux. Importante car c’est le cinquième personnage de l’Etat que j’ai eu le plaisir d’accueillir sur mes terres tarnaises qu’il connaît peu mais qu’il a appréciées à leur juste valeur, en amateur de la France éternelle, celle des hommes et des paysages. Il a pu visiter Albi et sa cité épiscopale, le Sidobre et sa montagne, Castres et la richesse du musée Goya.Plus…

Clarifications…

Édito de la lettre d’information n°104 du 1er décembre 2011 Si 2012 doit apporter quelques surprises ce sera assurément pour les électrices et les électeurs tarnais en général, Albigeois et Castrais en particuliers. Notamment lorsque ceux-ci recevront professions de foi et bulletins de vote des candidats pour les élections législatives. Confusion, c’est vraiment le mot qui revient le plus souvent suite au redécoupage – pardon, au « charcutage » – électoral initié à l’unique intention du député UMP Bernard Carayon. J’ai souvent dénoncé ce redécoupage, à l’instar de l’ensemble des forces politiques du département, du préfet de l’époque, de la commission indépendantePlus…

Achetez français !

Édito de la lettre d’information n°105 du 1er décembre 2011 Le débat qui anime ces jours-ci le landerneau politique vient directement d’une proposition de François Bayrou issue de son dernier livre « 2012, Etat d’urgence » acheter Français. Sous ce slogan un peu lapidaire se cache en fait une nouvelle façon d’appréhender la mondialisation. Il ne s’agit pas d’un réflexe protectionniste ni de repli identitaire ; ce que voulait dire François Bayrou avec ces mots, c’est « reconsidérons la question de la production en France ». Refusant, contrairement aux thuriféraires du libéralisme, de faire porter sur le seul coût du travail la compétitivité de l’économiePlus…

A vos racines, citoyens !

Édito de la lettre d’information n°104 du 1er décembre 2011 La crise systémique que nous traversons se caractérise par la faillite des autorités régulatrices, qu’il s’agisse des institutions financières, nationales ou supranationales. Pour autant, je me refuse à tomber dans le pessimisme ambiant, qui me semble aussi stérile que pernicieux. Notre pays dispose en effet de nombreux atouts, au premier rang desquels la diversité et le dynamisme de nos territoires. Le brouillard que nous traversons, nous en sortirons. Cela passera par la volonté des femmes et des hommes qui font la richesse de notre pays. Depuis que je suis députéPlus…