Author: Julie CAPO ORTEGA

Castres-Mazamet : coup d’envoi officiel pour la rénovation de l’internat des internes en médecine

Julie CAPO ORTEGA Actualités
Castres-Mazamet : coup d’envoi officiel pour la rénovation de l’internat des internes en médecine

Une étape symbolique mais attendue : la première pierre de la rénovation de l’internat de l’hôpital de Castres-Mazamet a été posée ce mardi, lançant officiellement les travaux d’un chantier stratégique pour l’attractivité du centre hospitalier. Dans un contexte de tensions sur les effectifs médicaux, en particulier dans les zones rurales et semi-rurales, l’hôpital mise sur un atout de taille : l’accueil des futurs médecins. « Il ne suffit pas d’avoir une offre de formation : encore faut-il que les conditions de vie suivent », a rappelé la direction du centre hospitalier devant les élus, représentants de l’ARS, vice président dePlus…

François Sauvadet président des Départements de France dans le Tarn : un soutien fort à l’A69 et à la cause des territoires

Julie CAPO ORTEGA Actualités
François Sauvadet président des Départements de France dans le Tarn : un soutien fort à l’A69 et à la cause des territoires

La venue dans le Tarn de François Sauvadet, (ancien ministre et président de l’Assemblée des Départements de France, ancien collègue dans le même groupe que Philippe Folliot) a été l’occasion d’un moment politique fort, au croisement de l’engagement local et des enjeux nationaux. En compagnie du Président du département du Tarn et de l’Aveyron, d’élus, chefs d’entreprises, du concessionnaire, ce dernier a souhaité marquer un soutien sans ambiguïté à la réalisation de l’autoroute A69, maillon essentiel du désenclavement du sud du Tarn. Dans un contexte marqué par des recours juridiques et une contestation parfois virulente, sa prise de position apportePlus…

Guerre et paix

Julie CAPO ORTEGA Actualités, Editos
Guerre et paix

« La guerre est morte, nous l’avons tuée. » C’est ainsi que titrait Le Progrès de Lyon en novembre 1918. L’armistice allait mettre un terme définitif à cette effroyable boucherie qu’avait été la Première Guerre mondiale. Mais nous savons désormais ce qu’il en est advenu, vingt ans plus tard. Aujourd’hui, je pourrais dire : « La guerre semble morte, nous l’avons oubliée. » Effectivement, cela fait 80 ans que, sur le sol hexagonal, nous ne l’avons pas connue. Et avec elle, notre mémoire — individuelle, familiale, collective — s’est estompée. Nous avons oublié les affres de la guerre, les privationsPlus…